Lorraine MAITROT-MANTELET
Amytis HEIM
Les plus fréquents chez la femme en âge de procréer, avec une prévalence variant entre 6 et 15 % selon les critères diagnostiques utilisés [1].
L’expression phénotypique du SOPK est très variable, certaines patientes ayant un profil endocrinien prédominant (incluant les troubles du cycle, l’hyperandrogénie et les troubles reproductifs), d’autres un profil métabolique prédominant, ou parfois exprimant les deux profils. Cette variabilité, qui traduit l’interaction complexe entre facteurs génétiques et environnementaux, explique que le SOPK est aujourd’hui considéré comme une pathologie chronique évolutive [2].